L’effacement de la mort (esquisse d’un hypothétique livre)
Quant la mort n’est plus rien d’autre que la simple privation de la vie, elle garde encore un sens en matière de crime et de justice, mais elle est étrangère à celui qui connaît sa valeur d’homme bon et qui regarde vers l’avenir. En niant sa présence quotidienne, il se condamne à l’illusion de son éternité.