Les mémoires des sociétés sont seulement des phénomènes “mentaux” ou “spirituels”. Tout au plus peut-on considérer que les espaces qu’elles créent se limitent aux interactions entre neurones.
Elles meurent donc avec ceux qui les portent parce qu’elles ne se prolongent pas dans un espace au-delà d’eux-mêmes, dans une terre.
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